Biocoop La Canopée Valentin

Depuis 2009, Pascale Garret s’occupe de 50 ares de pommiers en Haute-Saône. 

Pour éviter tout traitement elle cultive des variétés résistantes aux nuisibles, parmi lesquelles : la Chateclerc, la Dalirène, la Belle Fille de Salins, la Goldrush, la Crimson crisp, la Story, sans oublier sa délicieuse Topaz.

L’exploitation peut ainsi produire une vingtaine de tonnes par hectare d’août à novembre.

Installé depuis 4 ans sur la commune d’Oricourt, Pierre Caut élève quelques 3000 poules pondeuses dans le calme de la campagne haute-saônoise, dans le respect du bien-être animal, à le recherche de ce qu’il appelle “le goût des oeufs de nos grand-mère”.

Il livre nos 3 magasins chaque semaine avec professionnalisme et bonne humeur.

La Fromagerie du Tertre est une coopérative haute-saônoise regroupant producteurs, fromagers et consommateurs autour de valeurs environnementales fortes ; celles que nous avons toujours défendu chez Biocoop.

C’est donc tout naturellement que le réseau Biocoop s’est impliqué dans le projet, en soutenant la création de cette filière bio qui respecte à la fois ; la biodiversité, et les savoir-faires ancestraux de la coopérative laitière du Val Fleuri.

Des vacherins Lavignois, au gruyère, à l’emmental, en passant par le beurre, la crème et les raclettes en tous genres, venez découvrir leur large gamme dans nos magasins, franc-comtois et au-delà.

Situé à la croisée des départements du Jura, du Doubs, et de la Haute-Saône, Guillaume poursuit la tradition agricole familiale en lui ajoutant les principes de l’agroforesterie. Aucun traitement chez lui, ses sols respirent la diversité, l’autonomie, l’équilibre et la santé.

À l’image de sa démarche, sa production est évolutive et diversifiée. Il cultive tour à tour et selon les saisons ; du petit épeautre, des pois-chiches, diverses céréales.Sa fameuse sève de bouleau, disponible dans nos magasins de fin-février à début mars.

Sans s’arrêter à produire ce que le marché lui réclame, et il passe plus de temps à harmoniser les relations entre ses différentes espèces, à accompagner la vitalité du terrain, quitte à ne pas pouvoir tout commercialiser. Ses poiriers, pommiers et mirabelliers sont par exemple l’occasion de développer le programme de la LPO en fournissant un nouveau refuge à la chouette chevêche.